Cen’est pas la premiĂšre fois que Sharapova fait scandale avec ses tenues, mais « l’oubli » de sa culotte lors de ce match de tennis provoque l’émoi dans le monde entier. La fĂ©dĂ©ration internationale de tennis annonce dĂ©jĂ  des mesures exemplaires. « Un terrain de tennis n’est pas un film porno » a dĂ©clarĂ© son prĂ©sident Ă  la presse. MariaSharapova Joue Au Tennis Sans Culotte free porn videos at netporn.online. netporn.online. Home; Best videos; Categories; Maria Sharapova Joue Au Tennis Sans Culotte. 10:01 Hot Blonde (Lana Sharapova) Let (Jill Kassidy) To_Massage Lick Her Pussy - SweetHeartVideo. 10:01 ; 06:15 Lana_Sharapova oiled double penetration. 06:15; 06:14 MariaSharapova Joue Au Tennis Sans Culotte. 10:01. 10:01 Hot Blonde (Lana Sharapova) Let (Jill Kassidy) To Massage_Lick Her Pussy - SweetHeartVideo. lesbische kut, lesbian massage, babe pussy. 06:15. 06:15 Lana_Sharapova oiled double penetration. geolied-lichaam, dubbele blowjob, klaarkomen op kont, hardcore, blond. 06:14. Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. PubliĂ© le 19/06/2015 Ă  1635 LE SCAN TÉLÉ / VIDÉO - Le floutage des images d'une sĂ©quence de Las Vegas Academy diffusĂ©e ce jeudi soir prouve que la chanteuse ne porte pas de sous-vĂȘtements sous sa du dernier Ă©pisode de Las Vegas Academy sur W9, les tĂ©lĂ©spectateurs ont pu se rincer l'oeil grĂące Ă  la tenue trĂšs sexy de... Douchka!Pendant une soirĂ©e dans un bar country, Douchka s'est essayĂ©e au taureau mĂ©canique. Au bout de quelques minutes, l'interprĂšte de Mickey, Donald et moi, habillĂ©e d'une robe noire trĂšs courte, tombe de la machine infernale. ForcĂ©ment, sa tenue remonte et, au vu des images floutĂ©es, on ne peut que constater qu'elle ne porte pas de culotte! Cette femme de 51 ans prĂ©fĂšre en rire C'Ă©tait un grand moment. J'Ă©tais plus angoissĂ©e Ă  l'idĂ©e qu'on voit la bĂȘte noire qu'Ă  l'idĂ©e d'ĂȘtre Ă©jectĂ©e par le taureau», reconnaĂźt-elle. Ma mĂšre est une maman tranquille de 3 enfants, habitant une sage petite ville bourgeoise de province. C’est une femme plutĂŽt classique, distinguĂ©e, apprĂ©ciĂ©e de tous pour sa un jour, tout a basculĂ©. C’était un aprĂšs midi de printemps. En rentrant de l’école, je l’ai trouvĂ©e allongĂ©e sur son lit, entiĂšrement nue, un bandeau sur les yeux, pieds et mains attachĂ©s aux quatre cĂŽtĂ©s du lit. Sa position, couchĂ©e sur le dos, jambes grandes Ă©cartĂ©es, ne lui laissait aucune possibilitĂ© de dissimuler son intimitĂ©. Son sexe bien fendu, sa grosse chatte de femme mĂ»re Ă©tait mĂȘme la chose qu’on voyait en premier. J’ai pris peur, j’ai cru Ă  une agression, un viol, je ne sais quoi. Je me suis prĂ©cipitĂ© sur elle et je lui ai enlevĂ© son bandeau. - Maman ? Qu’est ce qui t’es arrivĂ© ? Qui t’a attachĂ© ? Ma mĂšre pris un air navrĂ©. - C’est rien, ne t’en fais pas. Va demander Ă  ton frĂšre
 - LĂ©o ? Mais pourquoi ? Il est oĂč ? - Dans le jardin. Il doit fumer une cigarette Je sortais alors dans le jardin, bien curieux de savoir ce qui se passait. Mon frĂšre en effet Ă©tait assis sur un banc, tranquillement en train de fumer. LĂ©o avait 5 ans de plus que moi. Je savais qu’il Ă©tait trĂšs portĂ© sur le sexe. Il eu l’air surpris en me voyant. - Kevin ? Qu’est ce que tu fais lĂ  ? T’es pas Ă  l’école ? - Non, je suis rentrĂ© plus tĂŽt. Mais LĂ©o, c’est quoi ça ? Pourquoi maman est attachĂ©e toute nue ? - Ne t’en fais pas, elle est d’accord. Maman est un peu speciale, tu sais. Elle est beaucoup moins sage que ce que tu imagines. Elle a des goĂ»ts vraiment pervers. En gros ce qui la fait kiffer c’est ĂȘtre soumise. Moi j’ai rien contre. J’aime bien ça mĂȘme ! Elle se fait attacher et je lui fais toutes sortes de choses, plutĂŽt cochonnes. Je te fais pas de dessin
 - Mais c’est fou, ça ! C’est notre mĂšre ! - Et alors ? Elle adore ça ! Tu devrais essayer. Viens, on va dans la chambre. Je vais te montrer. Je n’en revenais pas. Il se passait vraiment des choses bizarres chez nous
 Avec LĂ©o on est retournĂ© dans la chambre. Notre mĂšre n’avait pas bougĂ©, ce qui n’avait rien d’étonnant les noeuds qu’avaient fait LĂ©o Ă©taient solides. Jambes Ă©cartĂ©es, bras attachĂ©s en croix aux coins du lit, elle Ă©tait livrĂ©e Ă  nous. LĂ©o s’avanca vers elle et lui remis son bandeau sur les yeux. - VoilĂ . A toi de jouer ! me dit il. - Quoi ? Je fais quoi ? - Soit pas idiot. Mets les mains, les doigts, ce que tu veux. Elle te plait pas ? C’est pas toi qui disait que c’était la plus belle des mamans, quand tu Ă©tais petit ? Tu la trouve pas excitante ? - Heu ben si
 - Alors rĂ©gale toi ! Elle est Ă  toi ! Je regardais ma mĂšre, son corps nu offert, ses formes superbes de femme mĂ»re, grande, gĂ©nĂ©reuse, appĂ©tissante. Mon frĂšre avait raison quelque part j’en avais toujours eu envie. Il y avait sa grosse, fantastique poitrine. Ca devait ĂȘtre un bonheur de la caresser. Depuis longtemps j’en rĂȘvais. Alors puisque l’occasion m’en Ă©tait donnĂ©e et que ma mĂšre Ă©tait d’accord pour se livrer entiĂšrement Ă  nous, je pris la dĂ©cision d’en profiter. Je m’approchais et pris chacun de ses deux gros seins Ă  pleines mains. Ils Ă©taient vraiment beaux, un peu mou, mais si doux ! Je me mis Ă  les malaxer avec lenteur et un grand plaisir. C’était rĂ©ellement dĂ©licieux. J’excitais les tĂ©tons qui Ă  ma grande surprise durcirent et se dressĂšrent. Alors doucement j’ai fait glisser ma main sur son ventre, son nombril, son bas ventre
 J’eu quelques frissons mĂȘlĂ© d’apprĂ©hension lorsque mes doigts frĂŽlĂšrent les poils de son pubis, puis les lĂšvres de son sexe. La peau de sa vulve Ă©tait d’une douceur incroyable, fraĂźchement Ă©pilĂ©e. Aller plus loin ? J’hĂ©sitais. Ma mĂšre Ă©tait impassible, immobile. Le bandeau sur ses yeux m’empĂȘchait de lire ses rĂ©actions. - LĂ©o, tu es sĂ»r que
 - Elle est d’accord, je te dis, Kevin. Fais ce que tu veux d’elle ! C’est une cochonne. Elle aime ça, je te dis ! Ma mĂšre ne disait rien, ne rĂ©agissait pas, ce qui pouvait confirmer les dires de mon frĂšre. Alors un de mes doigts s’immisca au milieu, Ă  l’entrĂ©e de son vagin. Je rentrais un doigt, puis deux, puis trois. Sa position, attachĂ©e jambes grandes ouvertes, laissait un accĂšs aisĂ© Ă  son sexe, et je pouvais la doigter en toute tranquillitĂ© en prenant mon temps. Tout entier absorbĂ© par l’examen de sa fĂ©minitĂ©, je constatais, ravi, les modifications que mes caresses produisaient. C’était fantastique. Petit Ă  petit la vulve s’ouvrait, le vagin s’élargissait. Je rentrais et ressortais mes doigts rĂ©guliĂšrement. A chaque fois ils ressortaient plus mouillĂ©s. Je rentrais deux, puis trois, puis quatre doigts, presque toute la main. Visiblement ma mĂšre Ă©tait elle mĂȘme bien excitĂ©e par la situation. LĂ©o avait bien raison quelle cochonne, quand mĂȘme ! J’eu alors une idĂ©e folle. Et si j’allais encore plus loin ? Baiser ma mĂšre. VoilĂ  un fantasme qui m’avait toujours paru irrĂ©alisable. J’enlevais ma ceinture, retirais pantalon et slip. LĂ©o sourit et acquiĂ©sca de la tĂȘte, ce qui voulait dire “vas y frĂ©rot, Ă©clate toi !” Ma queue Ă©tait dĂ©jĂ  bien dure. Il faut dire aussi que des mois d’abstinence, sans copine, n’avaient pas eu pour effet de me calmer
Mon excitation Ă©tait complĂšte
Je bandais comme un fou. Alors je grimpais sur le lit, entre les jambes Ă©cartĂ©es de ma mĂšre, et je dirigeai ma queue vers la vulve offerte
 Je poussais. Ma mĂšre poussa un lĂ©ger cri en sentant mon sexe entrer en elle. De surprise ou de plaisir ? Qu’importe. Elle ne prononça pas un mot, ne fit pas un geste. Elle se laissait faire. Quelle chose incroyable de sentir sa queue fondre dans la chaude intimitĂ© de sa maman ! Je la rentrais en totalitĂ©, jusqu’au fond. C’était tellement bon ! Jamais je ne me serais attendu Ă  ressentir un tel plaisir. J’ai entamĂ© de longs va et vient, doucement, enivrĂ© par le plaisir. C’était divin. Je regardais ma queue aller et venir, dans ce sexe si excitant, disparaĂźtre au fond entiĂšrement, puis ressortir trempĂ©e. En mĂȘme temps je jouais avec sa grosse poitrine, pinçais les tĂ©tons. Je passais la main derriĂšre ses fesses, les soulevais lĂ©gĂšrement pour faciliter la pĂ©nĂ©tration, puis introduisais un doigt dans son anus, tout en continuant Ă  la baiser. Ma mĂšre n’était plus qu’un sexe, offerte, soumise et avilie, livrĂ©e Ă  nous, pour notre plus grand plaisir. J’ai encore augmentĂ© ma cadence, la baisant comme un fou, Ă  grands coups de rein qui faisaient trembler le lit, qui auraient dĂ©montĂ© des femmes plus fragiles qu’elle
 De temps en temps, je m’arrĂȘtais, pour me calmer. Puis je remettais ma queue et envoyais Ă  nouveau des coups de rein bien sentis
 
Jusqu’à sentir le plaisir m’envahir, me dĂ©border. Je me laissais alors aller dans les entrailles de ma gĂ©nitrice, avec dĂ©lectation. La jouissance Ă©tait dĂ©licieuse, tellement intense ! AprĂšs une bonne minute, Ă©tourdi par le plaisir, je me retirais, laissant mon sperme couler de la chatte de ma mĂšre. J’étais encore sous le choc. Un tel plaisir m’avait achevĂ©. LĂ©o, assis Ă  cĂŽtĂ© du lit, me regardait, amusĂ© et visiblement satisfait de ma performance avec ma mĂšre. - Tu as fini ? me demanda t-il. - Oui. - Bien. Tu t’es dĂ©brouillĂ© comme un chef ! Je suis sĂ»r qu’elle a dĂ» bien jouir ! Allez, dĂ©tache la maintenant. On recommencera demain. Moi aussi j’ai bien envie de la baiser, mais on a plus le temps. Il faut que j’y aille. Je vais bosser et aprĂšs je rentre chez moi direct. J’obĂ©is Ă  mon frĂšre et dĂ©fis les liens de ma mĂšre. LĂ©o nous dit au revoir et s’en alla, nous laissant seul elle et moi. Maman attrapa sa culotte Ă  cĂŽtĂ© du lit. Elle n’osait pas me regarder, visiblement honteuse de la situation, de sa faiblesse Ă  cĂ©der Ă  ses pires instincts, et du plaisir qu’elle retirait Ă  se retrouver soumise sexuellement face Ă  ses fils. Moi mĂȘme j’avais quelques apprĂ©hensions Ă  me retrouver seul avec elle. Elle Ă©tait en train de terminer de se rhabiller, lorsque pour casser la glace, elle me demanda - Tu as bien aimĂ© ? Tu voudras qu’on recommence ? - Heu oui
 - Bon garde les cordes alors, cache les dans ta chambre. Demain c’est toi qui m’attachera. C’est pas compliquĂ© mais il faut de bons noeuds, comme t’as dit ton frĂšre.. Et elle fila dans la cuisine prĂ©parer Ă  manger
 Que se passa t-il le lendemain ? 
. La maman perverse et soumise accepta t-elle de remettre ça ? La suite trĂšs bientĂŽt
 Ainsi ma mĂšre Ă©tait elle rentrĂ©e dans un jeu de soumission sexuelle avec nous, ses propres enfants. Plus j’y pensais, plus ça me semblait incroyable. Et pourtant je me rappelais la folle journĂ©e de la veille attachĂ©e Ă  poil sur son lit par mon frĂšre LĂ©o, elle s’était livrĂ©e Ă  nos pulsions les plus bestiales. Je l’avais baisĂ©e ! Et le pire est que je n’avais qu’une envie recommencer. J’étais un mec bien montĂ© et viril. Je me rĂ©galais qu’une femelle s’offre Ă  moi de cette façon, fut elle ma propre mĂšre. LĂ©o, lui, la baisait depuis un moment dĂ©jĂ . Il me raconta son histoire. Je dĂ©couvrais des choses qui m’avaient Ă©tĂ© cachĂ©es jusque lĂ . LĂ©o Ă©tait 5 ans plus ĂągĂ© que moi. Il avait compris assez vite que notre mĂšre accepterait de faire des choses habituellement interdites entre mĂšre et fils. Au dĂ©but il lui avait simplement demandĂ© de voir ses seins. “Ils te plaisent ?”, avait naĂŻvement demandĂ© ma mĂšre. Elle Ă©tait fiĂšre de sa belle poitrine. Mais elle ignorait qu’elle mettait la main dans un engrenage infernal. Car LĂ©o a vite exprimĂ© ses intentions d’aller plus loin. Il s’est mis Ă  exiger d’elle des choses de plus en plus compromettantes. “Montre moi ta chatte ! ”, ordonnait il. Ma mĂšre avait la faiblesse d’obĂ©ir. Elle se retrouva Ă  subir le caractĂšre autoritaire de son fils, qui se rĂ©vĂ©la aussi ĂȘtre un chaud lapin. Elle cĂ©dait chaque jour un peu plus de terrain et dut subir ses attouchements, puis ses envies de sexe. Mon pĂšre Ă©tait au courant de tout. Il avait surpris plusieurs fois LĂ©o en train de peloter sa mĂšre et se doutait qu’il se passait des choses bien pires en son absence. Il ne supportait pas que sa femme se laisse faire par ce petit morveux. Mais c’était un homme faible. Au lieu d’intervenir et de punir LĂ©o, il supportait tout. Et s’il protestait, ma mĂšre, lui rĂ©pondait “c’est mon fils. Je ne peux pas le voir malheureux. Je suis dĂ©solĂ©e ”. Un jour mon pĂšre rentra du boulot un peu plus tĂŽt que prĂ©vu et il trouva ma mĂšre dans la chambre de LĂ©o, en train de lui faire une fellation. Elle le suçait goulĂ»ment, introduisant avec un plaisir Ă©vident le sexe de son fils jusqu’au fond de sa gorge. Jamais elle n’avait montrĂ© une telle gourmandise avec mon pĂšre. Il en fut vexĂ© et eu tellement honte qu’il prit ses affaires, quitta la maison et demanda le divorce. “C’est un con”, s’était bornĂ©e ma mĂšre Ă  dire pour tout commentaire
 Du coup, LĂ©o s’est retrouvĂ© seul mĂąle dominant Ă  la maison. Ma mĂšre accepta de devenir son jouet sexuel. Etre soumise Ă  son fils l’excitait beaucoup. Ce fut LĂ©o qui dorĂ©navant choisirait ses sous vĂȘtements, qu’elle devait porter avec des jupes trĂšs courtes. Ou alors il l’obligeait Ă  ne pas en porter du tout. Il vĂ©rifiait alors plusieurs fois par jour qu’elle Ă©tait bien nue sous sa jupe. A tout instant il pouvait introduire ses mains entre ses cuisses et elle devait se tenir prĂȘte Ă  se faire prendre par lui dĂšs qu’il en avait envie. Mon frĂšre ayant un appĂ©tit sexuel assez intense, c’était parfois plusieurs fois par jours qu’il lui demandait de la baiser. Elle avait interdiction de refuser. Ma mĂšre avait cependant obtenu de LĂ©o de rester trĂšs discret lĂ  dessus. Car avec ma soeur ZoĂ© nous Ă©tions Ă  l’époque beaucoup plus jeune que lui et nous ne pouvions pas comprendre ce qui se passait. Pourtant LĂ©o Ă©tait sĂ»r de lui - Un jour Kevin sera un homme et il aura le droit de te faire ce qu’il veut. Tu devras lui obĂ©ir comme tu m’obĂ©is Ă  moi. RĂ©signĂ©e, ma mĂšre accepta, se disant qu’elle avait bien le temps de voir venir. Mais le temps passa plus vite que prĂ©vu jusqu’au jour oĂč j’eu l’age officiel de profiter des charmes de notre mĂšre. Il l’avait donc attachĂ©e nue sur le lit. Ma mĂšre aimait ça, se faire attacher. Elle avait l’impression d’ĂȘtre dans un Ă©tat de soumission totale, complĂštement vulnĂ©rable, n’attendant qu’une chose ĂȘtre prise par une grosse queue, celle de son deuxiĂšme fils en l’occurrence.. La suite vous la connaissez, je l’ai racontĂ©e dans le chapitre prĂ©cĂ©dent. Le lendemain matin, j’étais quand mĂȘme trĂšs gĂȘnĂ© vis Ă  vis de ma mĂšre. On ne baise pas sa mĂšre comme ça, sans consĂ©quence. J’étais attablĂ© pour mon petit dĂ©jeuner. Ma mĂšre vaquait Ă  ses occupations dans la cuisine. Elle Ă©tait juste un peu plus sexy que d’habitude, portant juste sur elle une nuisette assez courte. A un moment elle se retourna vers moi et en me souriant, elle me demanda - Tu veux que je te suce ? J’étais heberluĂ©. - Hein ? - Ben oui, c’est ton frĂšre qui m’a demandĂ© de faire ça. Je dois lui obĂ©ir
Lorsqu’il habitait Ă  la maison, je faisais toujours ça avec lui le matin. Ca le dĂ©tendait. Il veut que je fasse pareil avec toi. - Ha. Bon ok alors. Je sortais ma queue et ma mĂšre, s’agenouillant devant moi, la mis dans sa bouche. Ses capacitĂ©s en matiĂšre de fellation Ă©taient admirables. Elle avait une façon de s’y prendre vraiment dĂ©licieuse, tout en lĂ©gĂšretĂ© et fermetĂ©. Je n’ai pas tardĂ© Ă  jouir. Un jet sperme chaud inonda sa bouche, coula dans sa gorge. Bien que surprise, ma mĂšre avala tout sans broncher. Puis elle se redressa, toujours souriante. - Bien, mon chĂ©ri. DĂ©pĂȘche toi, tu vas ĂȘtre en retard Ă  la fac. La soumission de ma mĂšre s’arrĂȘtait au domaine sexuel. Pour les Ă©tudes, il Ă©tait hors de question de transiger. Mais je devais avouer que je me sentais dĂ©jĂ  plus lĂ©ger. A regret je prenais mes affaires et m’en allais, dĂ©jĂ  impatient de revenir le soir. “Je serai lĂ , m’avait dit LĂ©o, tu vas voir, on va s’éclater !” Ce soir lĂ , une surprise m’attendait
TroisiĂšme volet de mon histoire au sujet ma mĂšre. Il existe un certain nombre de famille oĂč les enfants sont les rois. Mais il y a peu de familles oĂč les choses Ă©taient allĂ©es aussi loin que chez nous notre mĂšre nous Ă©tait entiĂšrement soumise. LĂ©o l’avait contrainte Ă  ĂȘtre Ă  notre service repas, lavage, mĂ©nage, mais aussi et surtout des choses qui allaient bien au delĂ  du rĂŽle d’une mĂšre. Elle avait ainsi l’ordre d’ĂȘtre pleinement Ă  notre service sexuel caresses, fellations, etc 
 nous n’avions dorĂ©navant plus de limites dans nos exigences
 Ce soir lĂ , LĂ©o m’avait promis de l’animation. Je rentrais donc impatiemment aprĂšs mes cours. Avec surprise je constatais qu’il y avait du monde Ă  la maison, au moins une dizaine de copains de LĂ©o. Ils Ă©taient tous lĂ , en train de boire, manger. LĂ©o faisait souvent ça, il aimait recevoir ses copains, faire des fĂȘtes Ă  la maison. Mais ce jour lĂ , il leur avait promis quelque chose de mieux encore
 - Ah, tu es lĂ , Kevin ! s’exclama LĂ©o en me voyant. C’est cool ! Tu vas voir, on va bien s’amuser ! Maman, viens par lĂ  ! Ma mĂšre arriva, un plateau Ă  la main avec des rafraĂźchissements. Visiblement c’était elle qui faisait le service. Faire office de servante pour ces jeunes hommes, ces copains de LĂ©o, dont certains qu’elle connaissait depuis plus de 20 ans, n’était pas trĂšs digne pour une maman de son age. Mais le plus Ă©tonnant, c’était sa tenue elle Ă©tait entiĂšrement nue. Ma mĂšre avait un gros cul superbe, des beaux seins magnifiques. LĂ©o avait jugĂ© que ça serait une trĂšs bonne idĂ©e d’offrir tout ça Ă  l’admiration de ses invitĂ©s. Ma mĂšre regrettait d’avoir acceptĂ©, d’ĂȘtre si faible. Elle avait honte de cette soumission. Elle, la bourgeoise “ bien comme il faut” Ă©tait tombĂ©e bien bas. En attendant, une fois de plus elle allait se plier aux demandes les plus perverses de son fils. Car LĂ©o lui avait demandĂ© cette fois d’aller plus loin, ĂȘtre entiĂšrement Ă  la disposition de ses copains, ne rien leur refuser, ni caresses, ni relations plus “poussĂ©es”
 - LĂ©o ! s’inquiĂ©ta ma mĂšre, ils sont trop nombreux ! S’il te plait, c’est pas possible ! - Bien sĂ»r que si maman ! Je ne peux pas annuler, maintenant, c’est trop tard ! Ca se passera bien, tu verras. Tu les connais tous, ce sont tous de trĂšs bons copains. Bien sĂ»r, malgrĂ© les paroles rassurantes de LĂ©o, ma mĂšre restait extrĂȘmement inquiĂšte. En effet elle connaissait presque tous les copains de LĂ©o. C’était justement ça le problĂšme
 L’idĂ©e de devoir accepter des attouchements sexuels de leur part lui Ă©tait trĂšs difficile. Sa rĂ©putation allait sans doute ĂȘtre bien entamĂ©e
 Et puis sous l’effet de l’excitation, qui sait de quoi ils seraient capables ? Ils allaient certainement en profiter ! Elle avait raison. Elle n’eu en effet pas longtemps Ă  attendre pour voir ses prĂ©dictions se rĂ©aliser. Sous l’effet de l’alcool, les esprit s’échauffaient. Plusieurs copains de LĂ©o osĂšrent porter leur main Ă  son cul lorsqu’elle passait devant eux avec son plateau. Puis l’un d’eux fut plus entreprenant. Il la fit basculer dans le sofa oĂč il Ă©tait assis. - LĂ©o, tu sais qu’elle est vraiment excitante ta mĂšre ? Elle me fait bander depuis des annĂ©es ! - C’est vrai ? Alors amuse toi mon pote ! Le gars ne se fit pas prier. Devant tout le monde, il commença Ă  caresser ma mĂšre partout, ses jambes, ses seins, puis descendit vers sa chatte, entourant avec dĂ©lectation les doigts dans les longs poils doux de son sexe. Puis il se mis a la doigter. Ma mĂšre, passive, laissa les doigts impatients du jeune homme explorer son vagin. En peu de temps,elle se retrouva entiĂšrement livrĂ©e Ă  l’appĂ©tit de ces jeunes mĂąles affamĂ©s. Plusieurs autres gars s’étaient rapprochĂ©s, se pressant les uns contre les autres pour essayer de toucher une partie de son corps, ses seins, sa chatte, son cul. Ma mĂšre avait des mains partout, Ă©tait un peu dĂ©bordĂ©e. Un des mecs d’ailleurs un de ceux qu’elle connaissait depuis que lui et LĂ©o Ă©taient enfants avait mĂȘme sorti sa queue et essayait de la mettre dans sa bouche. LĂ©o dut intervenir. - Ho, les copains ! Tout doux ! Il y en aura pour tout le monde. Allez, on va s’organiser si vous voulez qu’elle vous suce, mettez vous en rang et sortez votre queue. ObĂ©issants, tous les garçons se mirent les uns Ă  cotĂ© des autres et sortirent leur queue. C’était surrĂ©aliste, tous ces jeunes mecs la queue Ă  l’air. Docilement, ma mĂšre se positionna devant le premier qui bandait dĂ©jĂ  bien, et le suça avec application. Puis elle passa au deuxiĂšme, et ainsi de suite. Lorsqu’elle avait bien sucĂ© une queue, elle passait Ă  la suivante
 Le pire pour ma mĂšre Ă©tait que quelque part, mĂȘme si elle mourrait de honte, elle aimait bien ça, avoir toutes ces queues dans sa bouche, toutes diffĂ©rentes, en taille, en texture, en goĂ»t. “Je suis une salope” se lamentait elle intĂ©rieurement. Tout d’un coup elle arriva sur une belle queue qui lui rappela quelque chose de familier, et pour cause c’était la mienne. Avec LĂ©o, il n’y avait pas de raison qu’on se prive. AprĂšs toutes ces queues Ă©trangĂšres, ma mĂšre ressenti comme un soulagement d’arriver sur celles de ses deux fils. Elle s’aperçut qu’elle aimait nos deux queues, ce qui ne fit qu’augmenter sa honte. Elle nous suça plus longtemps que les autres, avec un plaisir et une dĂ©lectation coupable. LĂ©o me glissa Ă  l’oreille - Elle adore ça ! Elle est chaude bouillante. On va pouvoir passer aux choses sĂ©rieuses ! Viens, je vais te montrer quelque chose. Il m’ entraĂźna, dans la piĂšce Ă  cotĂ©. LĂ , au milieu de la piĂšce, il y avait un fauteuil en cuir avec deux Ă©triers un fauteuil d’examen gynĂ©cologique. - C’est quoi ça, LĂ©o ? Tu as eu ça oĂč ? - Par internet. Pas mal, non ? LĂ©o baissa le fauteuil Ă  son maximum, l’inclina en position couchĂ©e, puis appela notre mĂšre. Elle avait bien sĂ»r dĂ©jĂ  vu l’engin et se doutait Ă  quelle utilisation LĂ©o le rĂ©servait. LĂ©o l’obligea Ă  s’y asseoir, toujours nue, Ă©carter les jambes et les poser dans les Ă©triers. La position Ă©tait magnifique, offrant une vue de rĂȘve sur son sexe c’était bien le but du fauteuil. - Le mieux serait qu’on t’attache les chevilles aux Ă©triers avec les sangles. Tu es d’accord, maman ? Il y avait en effet deux sangles qui devaient empĂȘcher complĂštement la “patiente” de bouger. - Oui, allez y
 rĂ©pondit elle en Ă©vitant de nous regarder. Avec LĂ©o on s’étonnait toujours que ma mĂšre accepte ce genre de traitement. Mais on savait quelle aimait cette sensation d’ĂȘtre attachĂ©e, livrĂ©e Ă  nos fantasmes. - C’est pas mal, hein ? Tu vas ĂȘtre bien, comme ça, maman ! A la perspective de ce qui allait arriver, ma mĂšre eu Ă  nouveau trĂšs peur. Allait elle pouvoir tenir ? Elle eu l’idĂ©e de tout arrĂȘter, mais c’était trop tard. Tous les mecs Ă©taient excitĂ©s comme des fous Ă  l’idĂ©e de se taper la maman bourgeoise. DĂ©jĂ  ils se pressaient dans la piĂšce, la bite Ă  l’air, prĂȘts Ă  l’enfiler. - Attendez les gars, avec mon frangin on passe avant ! C’est notre mĂšre, quand mĂȘme ! LĂ©o se prĂ©senta entre les jambes de maman. Il la regardait allongĂ©e dans le fauteuil d’examen, jambes ouvertes, sexe exposĂ©. Sa vulve Ă©tait magnifique, faite pour recevoir des queues. LĂ©o allait ĂȘtre le premier de la soirĂ©e Ă  y enfoncer la sienne. Mais avant ça il introduit deux doigts dans son vagin. Il les ressortit trempĂ©s, me regardant avec un sourire satisfait ma mĂšre mouillait. Cette situation d’extrĂȘme soumission l’excitait. LĂ©o la pĂ©nĂ©tra avec dĂ©lice. Puis il la baisa Ă©nergiquement. Je regardais la longue et belle queue de mon frĂšre entrer, sortir, disparaĂźtre entiĂšrement dans le vagin de maman. C’était impressionnant. J’avais toujours Ă©tĂ© Ă©tonnĂ© de cette capacitĂ© des vagins fĂ©minins Ă  recevoir de tels engins
Quelques minutes aprĂšs LĂ©o Ă©clata dans un cri de jouissance. - Putain, c’est bon !!! Allez Kevin Ă  toi ! Trop excitĂ© pour me retenir plus longtemps, je me positionnais devant ma mĂšre et la baisais Ă  mon tour comme une vraie salope. C’était dĂ©licieux, incroyablement intense. Ma mĂšre gardait les yeux fermĂ©s, mais ne pouvait s’empĂȘcher de laisser Ă©chapper quelques gĂ©missements. Était ce de plaisir ? Je supposais que oui un liquide trĂšs blanc suintait de sa chatte sa cyprine. Du coup je me sentais doublement excitĂ©. Je la baisais avec un Ă©norme plaisir. Tellement bien que moi aussi je ne tardais pas Ă  jouir Ă  l’intĂ©rieur d’elle. Les autres copains se succĂ©dĂšrent derriĂšre nous. Tous ils trempĂšrent leur queue dans la chatte offerte, sans aucune hĂ©sitation. Et que plusieurs mecs soient passĂ©s avant eux, que ma mĂšre soit dĂ©goulinante de sperme, ne les gĂȘnait visiblement pas tellement ils avaient envie. Certains revinrent mĂȘme la baiser une deuxiĂšme fois. Ils remettaient leur queue avec le mĂȘme dĂ©sir, la bourraient de coups de reins bien sentis qui faisaient vibrer le fauteuil et ma mĂšre avec. D’autres Ă©taient plus doux, imprimaient de lents Ă  et vient Ă  l’intĂ©rieur de cette maman offerte. Ceux qui connaissaient ma mĂšre depuis des annĂ©es se rĂ©galaient vraiment. Qu’ils aient fantasmĂ© sur elle Ă©tant plus jeunes ou pas, elle restait la maman qu’ils respectaient
 jusqu’à ce qu’ils dĂ©couvrent qu’elle s’abandonnait volontiers Ă  ces jeux pervers, que c’était une maman cochonne qui aimait la bite
 Ce n’est qu’au bout d’une bonne heure que tous furent rassasiĂ©s. Ils laissĂšrent enfin ma mĂšre tranquille, se rhabillĂšrent et s’en allĂšrent. Nous restions seuls avec maman. LĂ©o l’avait dĂ©tachĂ©e. Elle s’assit sur la chaise pour reprendre ses esprits. Une heure sur le fauteuil de gynĂ©cologie, Ă  se prendre des bites, l’avait quelque peu perturbĂ©e. Le sperme dĂ©goulinait de sa chatte, coulait entre ses jambes. Alors elle se leva et fila dans la salle de bain pour nettoyer tout ça. Avec LĂ©o, nos Ă©tions allĂ©s un peu loin. Comment allait elle rĂ©agir ? C’est avec apprĂ©hension que nous la vĂźmes sortir de la salle de bain, un peignoir sur le dos. La tĂȘte baissĂ©e, elle demanda timidement - Vous avez faim ? Je peux prĂ©parer Ă  manger si vous voulez
 - Volontiers ! avons nous rĂ©pondu de concert, ravis qu’elle ne semble pas plus affectĂ©e que ça par ce qui venait de se passer. Sous nos regards scrutateurs elle se dirigea alors vers la cuisine. Je remarquais avec une certaine satisfaction que son peignoir Ă©tait bien ouvert, que ma mĂšre ne prenait pas le soin de cacher ses seins. ce qui me donna envie de les caresser Ă  nouveau
Je dois parler Ă  prĂ©sent de ma soeur, Amandine, tout juste 18 ans Ă  cette Ă©poque. Amandine est plus jeune que moi, je l’avais toujours considĂ©rĂ©e comme une gamine. J’allais dĂ©couvrir que ce n’était vraiment plus le cas Elle Ă©tait pensionnaire dans un lycĂ©e Ă©loignĂ© et ne rentrait que tous les 15 jours Ă  la maison. Elle n’avait aucune idĂ©e de ce qui s’était passĂ© depuis quelques jours avec maman, qu’elle Ă©tait devenue en quelque sorte notre servante sexuelle, entiĂšrement soumise Ă  nos fantasmes les plus pervers. C’est pourquoi j’avais un peu d’apprĂ©hension de la voir rentrer ce jour lĂ . Comment allions nous faire pour lui expliquer tout ça ? Lorsque je rentrais Ă  la maison vers la fin d’aprĂšs-midi, Amandine Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ , confortablement installĂ©e dans un sofa. Elle portait un t shirt serrĂ© qui moulait parfaitement ses petits seins, et une petite jupe trĂšs courte qui dĂ©voilait ses jambes splendides. Ma petite soeur savait ĂȘtre vraiment sexy quand elle voulait. - Amandine, tu es dĂ©jĂ  rentrĂ©e ? - Ben oui. Comme tu le vois, on a fini plus tĂŽt cette semaine. - Et LĂ©o, il est pas lĂ  ? - Je suis lĂ , frĂ©rot ! Je tournais la tĂȘte. LĂ©o Ă©tait assis dans un coin de la piĂšce. Il souriait, visiblement heureux que nous soyions tous les trois rĂ©unis. - Kevin, on a une surprise pour toi, continua LĂ©o. Maman, tu viens ? Ma mĂšre entra dans la piĂšce
 Elle marchait doucement, la tĂȘte baissĂ©e. Elle portait un chemisier trĂšs dĂ©colletĂ© et une mini jupe qui lui arrivait au ras des fesses. - Maman, s’il te plait dĂ©shabille toi ! Ordonna LĂ©o - S’il vous plait, les garçons, pas ça, ne mĂȘlez pas votre soeur Ă  tout ça, elle est trop jeune
 - Maman, Amandine n’est plus une gamine. Et puis de toutes façons tu n’as pas le choix ! DĂ©shabille toi, c’est un ordre. Ma mĂšre avait acceptĂ© les rĂšgles du jeu. Contrainte de nous obĂ©ir, elle enleva lentement son chemisier et fit glisser sa robe sur ses chevilles. Puis elle retira soutien-gorge et culotte. Elle nous fit face dans sa plus belle nuditĂ©, silencieuse, tĂȘte baisĂ©e, attendant la suite des opĂ©rations. LĂ©o se tourna alors vers moi - Kevin, j’ai expliquĂ© Ă  Amandine ce qui se passe avec maman, et elle est d’accord. Elle trouve mĂȘme que c’est une bonne idĂ©e
 Ma petite soeur, toujours assise au fond de son canapĂ©, acquiesca. - Amandine, continua LĂ©o, maman est Ă  toi. Tu as compris le principe. Demande lui ce que tu veux, elle t’obĂ©ira. - Ce que je veux ? interrogea Amandine. - Bien sĂ»r soeurette. Vas y. Amandine afficha alors un large sourire de satisfaction complice. Elle hĂ©sita quelques secondes mais pas plus. Puis elle se tourna bien face Ă  notre mĂšre et Ă©carta largement les cuisses, dĂ©voilant ostensiblement son entre-jambe. A ma grande surprise, sous sa jupe trop courte, Amandine ne portait pas de culotte. Elle exhibait sa magnifique petite chatte Ă©pilĂ©e. J’avais dĂ©jĂ  vu ma soeur Ă  poil, mais jamais comme ça, superbe dans sa nuditĂ©, incroyablement excitante. - Maman, ordonna Amandine, viens me lĂ©cher ! Ma mĂšre Ă©carquilla les yeux de surprise. LĂ©cher la chatte de sa fille n’était pas une chose qu’elle avait envisagĂ© de faire, dans sa vie. Mais visiblement elle allait devoir s’y mettre. AprĂšs tout elle avait acceptĂ© le jeu de la soumission. ObĂ©issant Ă  l’ordre donnĂ©, notre mĂšre se mit alors alors Ă  quatre pattes devant le canapĂ©, entre les jambes grandes Ă©cartĂ©es d’Amandine. LĂ  elle avança son visage, et commença Ă  poser quelques coups de langue timides sur la vulve qui lui Ă©tait prĂ©sentĂ©e. Puis, se rapprochant encore, elle se mit Ă  la lĂ©cher plus franchement, alternant coups de langue gourmands et lĂ©chouilles plus ciblĂ©es sur le clitoris de de sa fille. Celle ci, pour lui faciliter les choses, avait Ă©cartĂ© les lĂšvres de sa vulve avec deux doigts. Du bout de la langue ma mĂšre pouvait ainsi stimuler efficacement le clitoris de sa fille. Je n’en revenais pas. Comment une mĂšre peut elle faire ça, un cunnilingus sur sa propre fille ? C’était un peu fort
 Ceci dit, il fallait reconnaĂźtre que le traitement de ma mĂšre Ă©tait efficace. Amandine avait du mal Ă  retenir des gĂ©missements de plaisir. La langue de notre mĂšre semblait en effet d’une grande agilitĂ©, explorant habilement tous les plis et replis du sexe de sa fille. Elle avait mit des doigts dans sa chatte, tout en la lĂ©chant. Amandine dĂ©goulinait de cyprine, et maman lĂ©chait tout avec gourmandise. DĂ©cidĂ©ment, ma mĂšre semblait aussi habile pour les cunnilingus que pour les fellations. Pour ma part, je trouvais ça aussi follement excitant. LĂ©o s’était rapprochĂ© pour mieux voir. - C’est beau, hein ? Elle lĂšche bien, maman, tu trouves pas ? Quelle grosse cochonne. Et Ă  quatre pattes comme ça, on dirait une vraie chienne en chaleur ! Regarde ce cul. Ça donne vraiment envie d’y mettre sa queue, hein Kevin ? - C’est sĂ»r ! - ok, alors Ă  toi l’honneur, frĂ©rot Vas y, baise la ! Pendant que ma mĂšre continuait de lĂ©cher Amandine, je venais alors me placer derriĂšre elle. Elle avait deux fantastiques fesses, bien en chaire, presque Ă©normes. Certains les auraient trouvĂ©es trop grosses, mais moi elle me plaisaient beaucoup. Je les Ă©cartais avec plaisir, dĂ©voilant alors tout son jardin secret, sa fantastique vulve. Je bandais comme un fou dans mon pantalon. Je libĂ©rais alors ma queue, que je positionnais derriĂšre ma mĂšre, Ă  l’entrĂ©e de son sexe. Sans plus de prĂ©liminaires, je la pĂ©nĂ©trais. Une nouvelle fois je me retrouvais au fond de ce vagin que j’aimais tant. J’entamais des va et vient absolument dĂ©licieux. - Ha c’est une bonne maman soumise, ça ! exultait LĂ©o en caressant la tĂȘte de ma mĂšre. Tu aimes ça, te faire baiser par ton fils, hein ? Ma mĂšre ne rĂ©pondit pas, toute occupĂ©e Ă  lĂ©cher Amandine. Mais je sentais qu’elle aimait ça, se faire ramonner par ma belle queue longue et dure. Au bout d’un moment, LĂ©o passa Ă  cĂŽtĂ© de moi, derriĂšre ma mĂšre. - Allez, Ă  mon tour ! me dit il. Laisse moi baiser notre grosse cochonne de maman ! Laissant un peu Ă  regret le tour Ă  mon frĂšre, je m’écartais pour qu’il vienne pĂ©nĂ©trer notre mĂšre. J’étais cependant loin d’ĂȘtre rassasiĂ©. Mais j’avais une autre idĂ©e. Depuis un moment, avec Amandine, on se lançait des petits regards en coin. Les lĂ©chouilles d’une maman, c’est bon, mais je sentais que ma soeur avait envie d’autre chose
d’une bonne grosse queue par exemple. Et moi j’avais bien envie de la dĂ©panner. J’en pinçais assez pour elle, ma frangine adorĂ©e. Je l’avais souvent matĂ©e la nuit nue dans son lit, ou dans sa douche. La coquine n’était pas trĂšs pudique. Mais nous n’étions jamais allĂ© plus loin
 Alors je l’ai rejoint sur le canapĂ©. Pendant que ma mĂšre Ă©tait occupĂ©e Ă  se faire baiser par LĂ©o, je faisais pivoter Amandine vers moi et prĂ©sentais ma queue entre ses jambes. Ma soeur se mordait les lĂšvres d’impatience, me suppliant des yeux de venir la pĂ©nĂ©trer sans attendre. - Ha oui frĂ©rot, j’en ai trop envie, viens ! Assez heureux de constater avec quel dĂ©sir ma chĂšre soeur regardait ma grosse queue, je la rentrais dans son petit vagin. Contrairement Ă  ma mĂšre, Amandine Ă©tait plutĂŽt serrĂ©e. Quel dĂ©lice ! J’entamais une sĂ©rie de va et vient qui enchantĂšrent ma soeur. Avec habilitĂ©, j’alternais mouvements rapides avec des manoeuvres plus douces. Amandine se mit Ă  gĂ©mir et miauler comme une chatte en chaleur. Ma queue produisait des miracles
 De son cĂŽtĂ©, LĂ©o baisait notre mĂšre avec hardeur. Toujours en position de levrette, il empoignait Ă  deux mains son gros cul tout mou, rentrait les doigts dans la chaire, imprimant Ă  ce postĂ©rieur fantastique des mouvements de va et vient frĂ©nĂ©tiques, agitant toute cette chaire dans tous les sens. Il la dĂ©fonçait littĂ©ralement, c’était presque violent. Puis il Ă©carta les deux globes du fessier maternel, dĂ©gageant son anus. Depuis toujours il Ă©tait fascinĂ© par le trou du cul de notre mĂšre. Il avait une envie folle de la prendre par lĂ . Il cracha dessus pour le lubrifier, puis introduit un doigt Ă  l’intĂ©rieur. Le doigt rentrait bien, avec une facilitĂ© encourageante. Alors il prĂ©senta sa queue et fit pĂ©nĂ©trer le bout de son gland. Il le retira, lubrifia un peu, puis remis sa queue, un peu plus profond. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il la rentre entiĂšrement
 LĂ  encore se sentis ma mĂšre un peu dĂ©contenancĂ©e. A 50 ans passĂ©, elle ne se serait jamais doutĂ© qu’un jour elle allait se faire sodomiser par son fils
Et qu’en plus elle prendrait plaisir Ă  la chose
 Quant Ă  ma soeur elle se rĂ©galait aussi de prendre ma queue, c’était une Ă©vidence. Plus j’y mettais de l’intensitĂ©, plus elle aimait. Voir sa mĂšre se faire baiser par LĂ©o, en plus, l’excitait au plus au point. Lorsqu’elle vit LĂ©o rentrer sa queue dans le cul de maman, elle exulta - Kevin, moi aussi ! Je veux que tu m’encule ! J’étais un peu choquĂ© que ma jeune soeur me demande aussi crĂ»ment ce genre de chose. Jusqu’à il y a peu, je la pensais vierge. Mais je n’avais aucune raison de refuser sa demande. Je la laissais ainsi se mettre Ă  4 pattes, me prĂ©senter son cul, et avec prĂ©caution j’y rentrais ma queue
 Quel bonheur ! LĂ  aussi je n’avais jamais imaginĂ© ressentir un tel plaisir Ă  ce genre de pratique avec Amandine
 Ce jour lĂ  nous avons passĂ© une bonne heure d’échanges torrides avec LĂ©o, ma mĂšre et ma soeur. Jamais je n’avais ressenti une telle extase sexuelle. Je sentis alors le besoin impĂ©rieux de me libĂ©rer. J’étais couchĂ© sur Amandine, le sexe bien au fond de son vagin. - Amandine, je suis trop excitĂ©, je vais
je vais.. - Vas y frĂ©rot, lĂąche toi, je prends la pilule, t’en fais pas ! Je me laissais alors aller dans une jouissance incroyable, dĂ©versant des litres de sperme Ă  l’intĂ©rieur de ma petite frangine chĂ©rie
 De son cĂŽtĂ©, en m’entendant jouir, LĂ©o se retira de ma mĂšre et se positionna au dessus de son visage. Il avait envie de lui jouir dessus. Il lui suffit de se branler quelques secondes pour Ă©jaculer sur notre malheureuse maman, aspergeant son visage de sa gĂ©nĂ©reuse semence
 Elle en avait partout. Cependant, loin d’ĂȘtre dĂ©goĂ»tĂ©e, elle lĂ©cha ce jus, avec dĂ©lectation jusqu’à la derniĂšre goutte. Nous sommes restĂ©s ainsi un long moment immobiles, tĂ©rrassĂ©s par la jouissance. Puis Amandine rompit le silence. - C’était super les garçon ! Je me suis rĂ©galĂ©e ! Quelle bonne idĂ©e, ce jeu avec maman, et merci de m’avoir invitĂ©e Ă  y participer ! Je crois qu’on va bien s’amuser maintenant ! 
 DĂ©cidemment, j’ adorais ma soeur
 Épilogue Ma mĂšre avait fini par s’habituer Ă  sa situation, soumise Ă  ses deux fils et Ă  sa fille. Amandine notamment adorait passer de longs moments avec maman, Ă  poil, Ă  se frotter le minou contre le sien, se faire lĂ©cher, et elle mĂȘme la lĂ©cher. Elle expĂ©rimenta toute sortes de godes qu’elle adorait enfiler dans le vagin de sa mĂšre, avant de nous demander, Ă  nous ses frĂšres, de venir la baiser Amandine adorait nous sentir la prendre en double pĂ©nĂ©tration, et nous Ă©tions heureux de la satisfaire le plus souvent possible. Cette situation dura de longs mois, jusqu’à ce que notre mĂšre, Ă  bout de nerf, raconte ce qui se passait chez elle Ă  une de ses copines. La copine fut horrifiĂ©e et lui conseilla d’aller voir un psychologue sans tarder. Ma mĂšre voyait bien aussi que tout cela n’était pas normal. Elle fut d’accord pour l’idĂ©e du psychologue. HĂ©las pour elle, elle tomba sur un jeune gars qui se trouva ĂȘtre un parfait escroc. Pendant ses sĂ©ances, afin de mieux cerner l’origine du problĂšme, il lui proposa de se mettre en condition rĂ©elle elle du se mettre Ă  poil et se laisser baiser par lui pendant qu’il l’appelait “maman” et la traitait de grosse cochonne, imitant ce que nous faisions avec elle. AprĂšs quoi le gars lui demandait de raconter ce qu’elle avait ressenti pendant l’acte, si elle avait joui. Il prenait des notes et lui disait au revoir. Ce n’est qu’au bout de 3 sĂ©ances que ma mĂšre rĂ©alisa que ces sĂ©ances n’avaient pas d’effet et que ça revenait juste pour elle Ă  payer 50 € pour se faire baiser par ce salop
 Elle alla alors voir un autre psychologue plus sĂ©rieux. Mais aprĂšs deux sĂ©ances, le gars lui posa la question fatidique - Mais en fait, madame, vous aimez bien ça, au final ĂȘtre au service de vos fils, de votre fille, et avoir des relations sexuelles avec eux ? Ma mĂšre du reconnaĂźtre que oui. Le psychologue en conclut qu’elle n’aurait pas la motivation d’arrĂȘter et que ses services seraient alors inutiles. C’est ainsi que ma mĂšre accepta dĂ©finitivement la situation ĂȘtre soumise Ă  ses enfants et faire l’amour avec eux Ă©tait la meilleure façon pour elle de jouir. Elle culpabilisait, mais d’un autre cĂŽtĂ© ressentait trop de plaisir pour renoncer Ă  ça. Le temps passa. LĂ©o, Amandine et moi nous avions, grĂące Ă  notre mĂšre, une vie sexuelle bien remplie. Nous baisions plusieurs fois par semaine tous ensemble. Toutefois nous trouvions le besoin de relations amoureuses plus “normales”. Nous nous sommes donc trouvĂ©s des conjoints “officiels”, avec qui nous nous sommes mariĂ©s, et pour ma part, ainsi qu’Amandine, nous avons eu des enfants. Mais nous manquions Ă  notre mĂšre. Celle ci, cĂ©libataire, trouvait peu d’intĂ©rĂȘt Ă  la frĂ©quentation d’autres hommes. Tant qu’à faire l’amour, c’est avec nous qu’elle voulait le faire
 Elle Ă©tait accroc Ă  sa relation avec nous. Faire l’amour avec ses enfants Ă©tait ce qu’elle aimait le plus au monde. Alors, rĂ©guliĂšrement, tous les quinze jours nous nous retrouvions chez elle, pour un dĂźner de famille, juste nous quatre. En fait de diner familial, il s’agissait d’une bonne partie de baise
 Comme au bon vieux temps, maman nous reçevait habillĂ©e trĂšs lĂ©ger
 Encore superbe pour son age, elle adorait nous exciter avec des tenues sans arrĂȘt plus provocantes. Nous prenions le repas, puis passions dans le salon oĂč notre mĂšre se mettait nue, attendant nos ordres pour Ă  nouveau se faire baiser
 Le sexe avait fini par resserrer nos liens d’une maniĂšre trĂšs solide. Le jeu de soumission existait toujours, mais tout ça donnait au final beaucoup de piment Ă  nos rĂ©unions familiales. A l’heure ou je finis d’écrire cette histoire, j’entends ma soeur Amandine qui vient me rĂ©cupĂ©rer en voiture. Nous allons chez maman
 Je bande dĂšjĂ . Encore une bonne aprĂšs midi en perspective ! See more posts like this on Tumblr histoire inceste mĂšre fils Tags AnalBlondeBlowjob Je vous promets que j’ai tout fait pour l’éviter, mais c’était impossible. J’étais obligĂ© de remettre une vidĂ©o Tushy. Il fallait qu’Aubrey Star soit prĂ©sente sur Le Bon Fap, c’était un manque vraiment indigne pour un site qui porte ce nom. Alors, j’ai cherchĂ© et voilĂ , seul Tushy sortait du lot. Comment rĂ©sister Ă  la perfection de cette scĂšne. Aubrey est lĂ , blonde, et l’air ingĂ©nu. Elle prend des cours de tennis avec ce prof Ă  l’accent si europĂ©en, Christian Clay. Elle ne porte pas de culotte sous sa jupette volante, signe Ă©vident qu’elle voulait se taper son prof. C’est un fantasme courant pour les apprenties tenniswomen et les Ă©ducateurs confirmĂ©s dans le respect de la majoritĂ© et du consentement hein !. Vous avez dĂ©jĂ  votĂ© ! 18693 vues VidĂ©o complĂšte

elle joue au tennis sans culotte